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Par Amour Passion le 20 Décembre 2010 à 12:08
Transparence
Transparence des âmes où la beauté se joue
D'un regard que l'amour enflamme d'un rayon
Et vient brûler les cœurs battants à l'unisson
Quand vient le doux moment d'un baiser sur la joue.
Un bonheur qui fleurit, un soupçon de douceur
Une musique tendre ou pleure un violon
Et c'est l'embrasement en multiples couleurs
Lorsque les corps frémissent à perdre la raison.
Le chant d'un rossignol troublant seul le silence
Plus sensible aux amants qu'un orchestre parfait,
Transportant leurs émois, devant leur impatience,
Bien plus forte est l'étreinte: l'amour a ses attraits...
Ils ont le regard clair, leurs esprits sont en phase.
Une douces envolées amoureuses est sans loi.
Ils se laissent porter par l'amour et la foi
En leurs gestes affolés les menant à l'extase.
Un bonheur qui fleurit, un soupçon de douceur
Une musique tendre ou pleure un violon
Et c'est l'embrasement en multiples couleurs
Lorsque les corps frémissent à perdre la raison.
La main et la plume Sociétaire de la Sacem
Lady Oslo/Amour Passion/ 03/05/2010
Sociétaire de la Sacem
7 commentaires -
Par Amour Passion le 20 Décembre 2010 à 10:23
Ma divine
Ô! Quel beau jour mon amour!Tu me donnes la permission d'oser.La permission d'aller plus loin dans mes attentes.Dans mes fantasmes, dans mes ardeurs!...Je ne veux et ne peux plus attendre!Berce-moi doucement dans tes bras.Laisse aller mon visage contre ta poitrine.Offre-moi tes seins aux formes généreuses.Désaltère-moi de tes baisers sucrés, salés.Mêle ta langue divinement à la mienne.Abreuve ma bouche de ta délicieuse liqueur!Serre-moi tout contre toi que j'entende ton coeur!Enlace-moi! Telle une liane, tu me fait prisonnier de tes charmes.Tu laisses des traînées de feu sur mon corps brûlant.Tes yeux fouillent les miens. Abandonné, je me laisse faire.Tes prunelles vertes m'affolent, m'aveuglent et pourtant,Pourtant, je te vois ma douce Gazelle!Belle nymphe au bord du lac, au crépuscule, tu apparais:Petite fée aux formes gracieuses et pleines!Tu ouvres la porte de mes rêves ou je pénètre pour te rejoindre.Ta peau couleur d'albâtre que je caresse avec délice,Me fais frissonner. Je m'enfièvre et je délire.Je ne peux plus lutter contre ce désir qui me fait perdre la raison!Animé d'un ardent besoin de m'unir à toi,Je m'allonge sur ton corps frémissant d'amour,Dans ce lit des délices au jardin de Vénus.Nous sommes avides de nous connaître mieux...Tu me sens en toi mon aimée?Tu sens tout mon désir en toi?Doucement nos corps s'accordentDans un vas et viens consentant, passionné.Ma douce muse au corps de braise!Ce soir, donne-moi le droit de goûter à tes fruits cachés.Je veux me rassasier de tes appâts qui ne sont qu'à moi!Ma divine! Fais-moi boire à ta coupe enchantée...
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Par Amour Passion le 18 Décembre 2010 à 15:15
Ma Déesse fougueuse
Ma déesse fougueuse et passionnée!
Mon merveilleux rêve éveillé!
Quelles ardeurs dans tes élans amoureux!
Quelle passion dans tes insinuations!
Tes mots me brûlent plus que le contact de ta peau
Et réveille en moi le désir de te faire l'amour.
Tu m'apportent, par tes mots, une jouissance extrême
Et m'entraînent dans ton jardin secret
Pour m'enivrer de sensations et oublier tout ici-bas.
Tu mets le feu à mon corps, dans mes veines
Comme la lave brûlante d'un volcan,
Par tes missives que je lis et relis avec passion,
J'entends ta voix si douce à mon coeur!
Qui m'entraîne dans une volupté merveilleuse.
Tes mots halent ma peau comme un soleil d'été:
Ô! Mon amour! Tes lettres me transportent vers le nirvana.
Je suis envoûté et à travers ce que tu m'écris,
J'imagine nos corps nus et luisants qui ploient
Et se déploient sous les caresses de nos mains,
Aux baisers ardents et gourmands de nos bouches.
C'est un concert de soupirs et de gémissements,
De petits cris de douleur mêlés au paroxysme du plaisir
Quand nos corps obéissent au désir fou de se donner l'un à l'autre.
Plus rien n'existe et ne retiens nos délires amoureux.
De se découvrir et sentir nos sexes ivres le plaisir, nous griser.
Nous évoluons avec tant de fougue et de désir,
Que nos corps luisants et ruisselants de fièvre
Voudraient se fondre pour ne plus faire qu'un.
C'est le royaume de la déesse de l'érotisme,
Cette belle et adorable créature orientale
Qui conçut l'amour charnel de par ses charmes envoûtants
Dans ses plus folles et intimes expressions;
Mais aussi dans les plus violentes pulsions qu'elle suscite...
Les préludes de l'amour sont aussi de se donner sans retenue!
Juste le temps de réveiller cette avalanche de sensations.
C'est la fuite dans le temps, la fuite en avant,
La fuite des amants condamnés à s'aimer follement
Et se désirer avec rage sans pouvoir s'appartenir jamais.
Dès que leurs esprits se rencontrent c'est la communion parfaite.
C'est l'amour et rien d'autre! L'amour sans éléments charnel.
Sans la peur d'être en faute et d'être découverts.
Dans ce jardin d'érotisme, la force de cet amour est phénoménale!
Il soulève des montagnes aux sommets les plus vertigineux.
Il allument des foyers gigantesques sous notre peau brûlante
Que n'éteignent point les flots des océans en furies,
Et les braises qu'il laisse en nos corps,
Couvent comme le magmas de ce volcan silencieux, endormit;
Mais prêt à se réveiller au premiers soubresaut de nos envies mutuelles
De l'acte d'amour que l'on voudrait charnel...
Lady Oslo/AmourPassion
3 commentaires -
Par Amour Passion le 30 Septembre 2010 à 12:53
Je t'écrirai...
Je t'écrirai avec de l'eau vive coulant de mes veines,
Pour mieux te faire sentir combien mon sang est poésie.
Je t'écrirai à l'encre rouge de mon sang:
Ruisseau d'eau vive qui maintient mon corps en vie.
Je t'écrirai avec ce sang qui fait battre mon coeur
Lorsque je te vois sans oser t'aborder, te parler.
Je t'écrirai... Oui, je t'écrirai! Je t'écrirai
Lorsque j'oserai te dire la douleur que je ressens à t'aimer en secret.
Lorsque j'oserai te confier cet amour qui brûle en moi
Tel un brasier qui me détruit de l'intérieur
Et me fait mal de ne pouvoir te le crier!
Je t'écrirai avec l'eau vive du torrent,
A l'encre invisible de mes sentiments
Ignorés de toi par ma faute, parce que je n'ose pas.
Je t'écrirai un jour,une nuit, quand mon sommeil tardera à venir,
Lorsque je ne pourrai plus souffrir en ta présence
Et que ce mal de toi qui me ronge, aura raison de mon silence.
La main et la plume
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